« Souvenez-vous de mes liens »
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Colossiens 4:18
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PAS DE PLAINTES…
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Avez-vous déjà reçu une lettre portant l’estampille « censurée » et émanant d’un prisonnier purgeant une peine plus ou moins longue ? En général, vous trouvez une succession de plaintes dès les premières lignes. Pour la lettre du détenu Paul, écrite à ses amis de Colosses, il faut attendre la conclusion, les salutations, pour se rendre compte qu’elle émane d’un « taulard » ! Pas de plaintes, mais des encouragements, des exhortations. Il faut lire entre les lignes, relever un mot, une phrase, pour connaître la triste situation de l’auteur.
Amis, aujourd’hui, d’autres lettres sont rédigées, parfois avec le sang de ces martyrs chrétiens, incarcérés à cause de leur foi. Saurons-nous « informer nos contemporains de ce qu’ils connaissent comme souffrance ; serons-nous pour eux une consolation ? Le souvenir de leurs liens nous poussera-t-il à prier ? A agir pour eux ? Et nous, serions-nous prêts à être leur compagnon de captivité ? » Demandons à Dieu qu’Il nous aide à prendre nos responsabilités. J’étais en prison et vous m’avez visité.
G. Peilhon
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« Ta parole est une lampe à mes pieds,
Et une lumière sur mon sentier. »
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