« Prépare-moi d’abord avec cela un petit gâteau et tu en feras ensuite pour toi et pour ton fils… Le pot de farine ne s’épuisa pas, et la cruche d’huile ne se vida pas, selon la parole de l’Eternel. » 1 Rois 17:13, 16
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LE MOINS POUR CONFONDRE LE PLUS
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Au temps du roi Achab, le royaume du Nord : Israël, était rempli d’idolâtrie. L’Eternel frappa le pays de sécheresse. Le prophète Elie, sur l’ordre de l’Eternel, a fui au torrent de Kerith où les corbeaux vinrent le nourrir.
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Mais au bout d’un certain temps le torrent fut à sec car il n’y avait pas eu de pluie dans le pays (v. 7).
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Et c’est alors que l’Eternel ordonna à Elie d’aller à Sarepta, dans le pays de Sidon. Là, une veuve, à qui le Seigneur a parlé, le nourrira. Curieuse méthode de Dieu : se servir d’une pauvre veuve à qui il ne reste plus qu’une poignée de farine et un peu d’huile, dernière bouchée de pain pour elle et son fils. Dieu va utiliser cette situation de famine et de détresse extrême, pour sauver d’une mort certaine les trois personnes.
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Elie teste les dispositions de cette veuve en lui demandant successivement de l’eau et un gâteau.
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Reconnaissant sa docilité et l’esprit de droiture dont cette femme est animée, le prophète lui transmet la parole de l’Eternel : Le pot de farine ne s’épuisera pas et la cruche d’huile ne se videra pas.
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Dieu se plaît à choisir les choses faibles du monde pour confondre les fortes (1 Corinthiens 1:27). Quel chant de louange et de reconnaissance a dû jaillir dans le cœur de ces trois acteurs ! Cette veuve qui a vraiment donné tout ce qui lui restait, a été bénie avec abondance.
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Pendant longtemps elle eut de quoi manger, elle et sa famille, ainsi que Elie (v. 15). Sa foi simple et active a été récompensée.
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Le prophète a été non seulement secouru, mais fortifié dans sa foi et son obéissance.
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Or, à celui qui, par la puissance qui agit en nous, peut faire infiniment au-delà de tout ce que nous demandons ou pensons, à lui la gloire … (Ephésiens 3:20).
. Ch. Rick