« Si ta main droite est pour toi une occasion de chute, coupe-la et jette-la loin de toi ; car il est avantageux pour toi qu’un seul de tes membres périsse, et que ton corps entier n’aille pas dans la géhenne. » Matthieu 24:4-5
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VRAI OU FAUX CHRIST ?
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Jésus évoque, devant Ses disciples, la venue de faux christs. Après Son ascension, Il le sait, plusieurs surgiront en Palestine ou ailleurs, tout au long de l’Histoire.
Le vrai Christ, conçu de manière miraculeuse, a vécu sans péché. Il a marché sur les eaux, calmé la tempête, guéri des malades, ressuscité des morts ; Il a nourri des foules avec quelques pains, prêché un message de pardon et d’espérance, proclamé la vérité sans détour ; Il a été arrêté par les autorités religieuses juives, jugé et crucifié.
Mais, trois jours plus tard, Il est sorti victorieux du tombeau. La mort est morte, la vie a surgi ! Monté au ciel, Il y règne désormais. Le Vrai Christ est unique. Notre ère débute avec Lui. Ses disciples, par millions, proclament encore aujourd’hui, partout, son Evangile, glorieux et libérateur.
Les faux christs, eux, vivent bien souvent dans le luxe, promettent monts et merveilles à leurs adeptes ; ils sont avides surtout du porte-monnaie ou du carnet de chèques de ces derniers. Ils brillent par leur orgueil et, parfois, par leur vie dissolue.
Et puis, ils meurent. On leur érige peut-être un petit monument, mais pour les oublier très vite. Savez-vous que l’Histoire en recense 170, dont 37 pour notre seul XXe siècle ?
Seul, le vrai Christ, Celui des Evangiles, peut pardonner les péchés et accorder son Esprit, imprimant en nos cœurs, par Lui, la certitude du salut.
Connaissons-nous ce Christ ? Avons-nous accueilli Son salut ?
G. Dagon