« Le malade répondit à Jésus : "Seigneur, je n’ai personne…" »
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Jean 5:5, 6
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LES BLESSÉS DE LA VIE
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Au cours du siège de Paris en 1871, au cours d’une bataille, les ambulanciers, la nuit venue, sortirent de la capitale à la recherche des blessés, sans disposer de la moindre lumière. Ils allaient repartir, croyant avoir recueilli tous les blessés, lorsque l’un des brancardiers se plaça sur une petite hauteur et cria à tue-tête :
– Y a-t-il encore quelqu’un qui désire être transporté à Paris ? L’ambulance va partir.
Avant, c’était le silence absolu. Mais à peine avait-il cessé de parler que, de toutes parts, retentirent de vibrants cris d’appels. Des blessés qui désespéraient de trouver du secours, savaient maintenant qu’ils pouvaient être pris en charge et soignés enfin.
Innombrables sont nos contemporains qui, abattus, fatigués et chargés, blessés de la vie, découragés, ayant perdu tout espoir de trouver sur cette terre un secours efficace, attendent mornes et silencieux, ou même n’osent plus attendre une quelconque délivrance.
Ce simple message que vous lisez à présent, veut faire entendre au plus grand nombre qu’il y a encore un espoir sûr et véritable. Peut-être dites-vous, comme cet homme paralysé vers qui Jésus vint : « Seigneur, je n’ai personne… »
Nous-mêmes, nous faisons office de brancardiers, en quelque sorte, pour vous aiguiller vers Jésus, qui peut vous guérir de toutes les blessures physiques, morales, affectives ou autres, que la vie avec les difficultés qu’elle engendre ont occasionné à votre corps, à votre coeur, à votre âme, à votre esprit. Venez à Jésus, et bientôt vous pourrez dire : le Christ est venu à mon secours.