« Cet affligé a crié ; et l’Eternel l’a entendu, et l’a sauvé de toutes ses détresses… Bienheureux l’homme qui se confie en lui. »
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Psaume 34:6, 8
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SUICIDES
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Douze mille est le nombre total de suicides enregistrés durant l’année 1998 en France, quatrième pays du monde pour le nombre de suicides dans la tranche d’âge des moins de vingt-cinq ans.
Pourquoi le suicide touche-t-il surtout les pays qui, matériellement, sont parmi les plus favorisés ? Pourquoi de si nombreux jeunes refusent-ils d’affronter la vie qui s’ouvre à eux, en estimant qu’elle ne vaut pas la peine d’être vécue ?
Une partie de la jeunesse serait en mal d’idéal, sans but, sans avenir défini, en bref, sans espérance, estiment psychologues et sociologues. Peut-être es-tu, toi aussi, en détresse morale ou affective, même si tu as de quoi manger, t’habiller et te loger… Peut-être l’avenir te paraît sombre et l’existence vide, insipide…
Ecoute ces paroles d’un prisonnier enchaîné, qui avait traversé de grands malheurs : « Nous avons été excessivement chargés, au-delà de notre force, de sorte que nous avons même désespéré de vivre » (2 Corinthiens 1:8). Mais il ajoute qu’il a gardé confiance en Dieu qui l’a délivré, le délivre et le délivrera encore.
Christ était la raison de vivre de Paul, son modèle, son but, son espérance, même au fond de sa prison. Ce n’était pas une religion, mais une personne aimée, connue, digne d’être servie.
Apprends d’abord à connaître Jésus comme ton Sauveur personnel, c’est-à-dire comme Celui qui a payé, en mourant sur la croix, ta dette envers Dieu à cause de tes péchés. Tu apprendras ensuite à Le connaître comme ton Seigneur, Celui qui veut gérer avec toi ta vie et lui donner la bonne direction.