« Voici, je me tiens à la porte et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui et lui avec moi. »
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Apocalypse 3:20
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IL EST NÉ LE DIVIN ENFANT (2)
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Par Sa résurrection, Jésus confirme et affirme Sa nature divine, qui transparaissait déjà avant Sa mort, au travers de Ses paroles et de Ses actes, nature discutée, méprisée, niée par Ses ennemis, contestée même par Ses amis et disciples.
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La résurrection de Jésus ferme la bouche des contestataires et des sceptiques. Non seulement Il a vaincu la mort, mais « Il a anéanti celui qui a la puissance de la mort, le diable » (Hébreux 2:14). Il est maintenant vivant aux siècles des siècles. Avant de remonter au ciel, Il a dit : « Je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde » Matthieu 28:20, et aussi : « Je reviendrai ! » (Jean 14:3).
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Quel chemin parcouru, depuis la crèche, à Bethléem ! Il est loin, le bébé rose qu’on figure en plâtre, en sucre ou en plastique, dans nos crèches familiales, entre l’âne et le bœuf.
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Cette scène représente une triste et fréquente réalité spirituelle : Jésus reste le bébé bien mignon, pas compromettant du tout, qu’on laisse dans l’étable, parce qu’on ne croit pas qu’Il puisse remplir le ciel, et surtout dont on ne veut pas chez soi, dans sa vie, ses pensées, ses projets, nos goûts et nos affections. Pourtant, à chacun d’entre nous, Il dit :
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« Voici, je me tiens à la porte et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui et lui avec moi. »
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Verset du jour (Ap. 3:20). Allons-nous Le laisser dehors, comme les hôteliers de Bethléem qui n’avaient pas de place pour loger Ses parents, la nuit de Sa naissance ?
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M. Renneteau