PARRAINAGE VEUVES

 

Dans presque toutes les nations en voie de développement les femmes seules, célibataires ou veuves, n'ont aucun moyen de travailler (manque de travail) et, de ce fait, n'arrivent pas à couvrir leurs besoins vitaux. Inutile de dire qu'il n'y a pas de pension pour les veuves.

Notre action ne dépend d'aucune église ou mouvement politique. Nos membres proviennent de divers horizons.

En Inde, la situation des veuves est réellement tragique. Elles sont accusées d'être la cause de la mort de leur mari. En conséquence elles sont rejetées par la famille du conjoint et  trouvent difficilement à se remarier car on considère qu'elles portent malheur.

Par le passé les veuves étaient brûlées vivantes avec la dépouille du conjoint. Aujourd'hui, même si cette pratique est devenue illégale, on la retrouve dans bien des villages isolés.  D'autre part, on trouve bien des veuves qui, ne résistant pas au poids de l'accusation d'avoir provoqué la mort de leur mari, préfèrent mourir.

En Afrique, les veuves ne vivent pas avec l'accusation d'avoir fait mourir leur mari et elles sont accueillies en principe dans la famille d'un de leurs enfants. Mais les veuves africaines ont besoin de notre aide. Toute famille africaine qui se respecte a une dizaine d'enfants. Inutile de dire qu'avec le manque de travail et avec des salaires de misère (quand ils sont payés) la famille africaine a bien des problèmes à nouer les deux bouts. Puisqu'il n'y a pas de nourriture dans la famille hôte, la veuve se trouve dans bien des difficultés. Elle ne peut compter que sur une aide venant de l'extérieur.

 

 

 

A chaque fin d'année, nous vous enverrons une attestation fiscale. La majorité des Cantons suisses accepte de déduire des impôts vos versements à notre œuvre reconnue en Suisse comme œuvre d'utilité publique.

 

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